applications testées
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d'accélération sur la création des cas de test avec qTest Copilot
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d'automation pour les cas de test d'UI et d'API sur les applications de la plateforme principale
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Wolters Kluwer est un leader mondial de l’information, des logiciels et des services. Ses clients sont des professionnels de divers secteurs : santé, fiscalité et comptabilité, conformité financière et d’entreprise, droit et réglementation, performances d’entreprise et ESG. L’entreprise aide ses clients à prendre des décisions stratégiques en leur fournissant des solutions expertes qui combinent une connaissance approfondie du domaine avec une technologie et des services spécialisés. Basée à Alphen aan den Rijn, aux Pays-Bas, l’entreprise compte des clients dans plus de 180 pays et est présente dans plus de 40 pays.
Wolters Kluwer, fondée il y a près de deux siècles, était à l’origine une société d’impression. Au cours des dernières décennies, l’entreprise s’est engagée dans un vaste parcours de transformation digitale et a rapidement déployé de nouvelles technologies. Elle a connu une croissance exponentielle ces dernières années, et une grande partie de ce succès est liée à son souci de la qualité.
Avec la montée de l’IA dans l’ensemble des outils de l’entreprise, en particulier ceux du développement logiciel, Paul DiGrazia, vice-président de l’ingénierie de la qualité chez Wolters Kluwer, a entrepris d’établir une stratégie d’ingénierie de la qualité adaptée au volume et à la vitesse croissants du code généré par l’IA, capable de détecter les erreurs que l’IA introduit parfois, mais que les méthodes de test classiques détectent difficilement. À cette fin, il s’est tourné vers qTest Copilot, un assistant IA de qTest puissant et adapté au contexte, pour aider son équipe à créer des cas de test plus rapidement et à assurer une large couverture sur divers cas d’usage.
Paul DiGrazia a investi dans qTest Copilot dès le lancement de la version bêta et a rapidement déployé 400 utilisateurs dans le département d’ingénierie de la qualité de Wolters Kluwer. Il estime qu’avec l’aide de qTest Copilot, la conception des cas de test a été accélérée d’au moins 30 %. Wolters Kluwer s’oriente vers un environnement de développement entièrement intégré (IDE), où le débogage a lieu en même temps que la rédaction du code. Paul DiGrazia pense que les outils d’ingénierie de la qualité basés sur l’IA, comme qTest Copilot, seront essentiels au succès, grâce à la vitesse et à l’échelle qu’ils permettent d’atteindre pour la génération des cas de test.
Comme pour tout ce qui concerne l’ingénierie de la qualité, la visibilité apportée par l’outil constitue également un avantage pour Paul DiGrazia et son équipe, car elle leur permet de suivre de près les métriques essentiels dont ils dépendent pour prendre leurs décisions go/no-go.
Paul DiGrazia, vice-président de l’ingénierie de la qualité chez Wolters Kluwer, estime que les métriques de qualité sont les plus importants. « Du point de vue de l’ingénierie de la qualité, le métrique le plus efficace est notre nombre de défauts échappés. Nous examinons également nos métriques d’expérience client et nous avons un processus d’action préventive aligné sur ces mesures », déclare Paul DiGrazia.
Paul DiGrazia et son équipe supervisent les normes de qualité des processus et des outils pour un large éventail d’applications et de plateformes, ainsi que la technologie qui les sous-tend.
« L’équipe d’ingénierie de la qualité est responsable de centaines d’applications et probablement d’une demi-douzaine de plateformes majeures. Nous avons procédé à une migration majeure vers le cloud, ce qui comprend Azure et AWS ainsi que les technologies web comme Java, .Net, les bases de données, SQL et Oracle. Nous avons des plateformes et des produits récents, mais aussi des technologies plus anciennes utilisées depuis 20 ans », poursuit-il.
Paul DiGrazia dirige le Centre d’excellence en ingénierie de la qualité de Wolters Kluwer au sein du Digital eXperience Group, la branche technologique de l’entreprise. Les groupes tentent de centraliser les technologies des différentes activités de Wolters Kluwer afin de mettre en place des normes et des outils harmonisés dans l’ensemble de l’entreprise.
L’équipe d’ingénierie de la qualité a créé un mantra pour promouvoir le même ensemble de valeurs et de règles à grande échelle : « excellence through innovation » (l’excellence par l’innovation).
« Nous voulions que toutes nos actions et toutes les décisions que nous prenons s’inscrivent dans ce mantra. Cela a fonctionné, et je trouve que cette approche entraîne une certaine cohérence de pensée, qui se répercute sur l’ensemble de l’équipe », a déclaré Paul DiGrazia.
Mais face à des exigences de qualité toujours plus élevées, l’entreprise a été confrontée à une difficulté : amener plusieurs centaines de personnes à procéder de la même manière, malgré les règles et les méthodes en place.
Paul DiGrazia a une conception pyramidale de l’automatisation des tests. « Il y a plusieurs années, Tricentis a élaboré une charte intéressante sur la pyramide que j’utilise tout le temps parce qu’elle montre où il faut investir le plus au niveau de l’API et des tests unitaires, et comment s’assurer que l’on peut obtenir la bonne quantité de tests de l’interface utilisateur pour générer un retour sur investissement. C’est ainsi que nous avons pu accélérer l’automatisation de nos tests. »
Wolters Kluwer utilise un framework open source qui s’intègre avec un outil interne et à BlazeMeter pour les performances. Pour les tests, l’entreprise utilisait tout, des feuilles de calcul manuelles aux documents Word, en passant par des outils tels que Jama. Elle avait besoin d’une solution de gestion des tests pour unifier et centraliser toutes les sources, et commencer à automatiser davantage.
Wolters Kluwer a choisi qTest pour sa solution de gestion des tests afin de maintenir la visibilité et le contrôle sur un ensemble diversifié d’outils d’automatisation des tests. L’équipe utilise qTest pour orchestrer les tests automatisés, mais également pour standardiser, centraliser et étendre les bonnes pratiques de test à l’ensemble de l’entreprise.
Grâce à cette approche unifiée, l’équipe a atteint un taux d’automatisation de 100 % au niveau de l’interface utilisateur et de l’API pour les applications de sa plateforme principale. Pour beaucoup d’autres, les taux d’automatisation se situent entre 30 et 60 %, l’accent étant mis sur la répétabilité afin d’optimiser le retour sur investissement.
« Nous concentrons l’automatisation sur certains types de tests de régression très structurés et reproductibles. Cela nous permet de libérer des collaborateurs pour trouver les cas de test négatifs, et nous pouvons alors dérouler plus rapidement nos cycles de test, sans nous encombrer de cette charge de régression massive », explique Paul DiGrazia.
« qTest est l’outil à partir duquel nous pilotons tous nos métriques d’exécution, de développement et d’automatisation des tests. Nous exploitons les API de qTest pour injecter toutes ces données dans un outil interne associé à Jira. Nous disposons d’une vue d’ensemble des tests exécutés et de la qualité à l’arrivée », indique Paul DiGrazia.
Wolters Kluwer a investi dans la formation pour assurer la cohérence entre ses divisions, mais Paul DiGrazia affirme : « Nous ne pourrions pas déployer à grande échelle si nous ne disposions pas d’outils tels que qTest ».
Après avoir intégré qTest Copilot dans sa chaîne d’outils de qualité, Paul DiGrazia organise régulièrement des sessions de formation à l’IA générative et élabore un ensemble de lignes directrices et de normes pour l’entraînement de modèles et l’utilisation d’outils d’IA, y compris des techniques d’optimisation des requêtes en vue d’améliorer les résultats de l’IA. Lui et son équipe ont collaboré étroitement avec Tricentis pour optimiser l’efficacité de cette formation et développer des ressources afin d’étendre l’utilisation de l’IA à l’ensemble de la base d’utilisateurs, soit 400 personnes.
qTest, solution de test essentielle pour plus de 400 utilisateurs dans l’entreprise, a ajouté des règles de test et des autorisations à la méthode de travail de Wolters Kluwer. L’outil est crucial pour l’intégration, car il permet aux sous-traitants de se mettre rapidement au diapason et n’autorise l’accès qu’à ceux qui en ont besoin.
Wolters Kluwer a constaté l’impact de qTest, avec la diminution du nombre de défauts échappés et d’échecs. L’entreprise utilise un processus d’analyse des défauts échappés pour une boucle de feedback qui est liée à qTest dans Jira. Cette approche permet aux équipes de test et de développement de comprendre continuellement où elles peuvent améliorer la qualité dans l’entreprise et dans le cycle de développement des logiciels (SDLC) en général.
« qTest et le processus que nous avons mis en place autour de lui ont joué un rôle clé dans la préparation des releases. Avant d’utiliser qTest ou un système de gestion centralisée des tests ou un ensemble commun de métriques, on s’appuyait beaucoup sur des suppositions. Tout reposait sur l’intuition », conclut Paul DiGrazia. « Maintenant, tout repose sur les données, ce qui nous a permis d’obtenir des releases de qualité plus cohérentes et prévisibles, avec à la clé une baisse de nos taux de défauts échappés ».
Aujourd’hui, Paul DiGrazia et son équipe ont rejoint Tricentis en tant que partenaires de co-développement, alors que Tricentis développe des capacités d’IA agentique inédites dans le domaine de l’ingénierie de la qualité. Paul DiGrazia a déclaré : « Nous sommes enthousiastes quant à l’orientation de la stratégie agentique de Tricentis. En tant que membre de leur programme de co-développement, notre équipe de test a obtenu un accès en avant-première aux serveurs MCP distants de Tricentis et cela a constitué une avancée majeure. Nos ingénieurs peuvent désormais explorer des idées et itérer plus rapidement avec les outils de Tricentis en décrivant simplement à l’IA ce qu’ils veulent. »
Paul DiGrazia mise sur le potentiel de l’IA dans le domaine de l’ingénierie de la qualité : « Je fais ce métier depuis longtemps, et c’est la période la plus disruptive que j’aie jamais connue dans le domaine de la qualité des logiciels, et de loin. »
Il ajoute que c’est aussi l’une des plus prometteuses. Son conseil ? « Préparez-vous au changement. Les premiers à appliquer l’IA générative à l’ingénierie de la qualité poseront les jalons d’un avenir prometteur. »